Jouissances BDSM imposées

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il y a 6 ans

Jouissances BDSM imposées

Je savais que tout le monde me connaissait dans le milieu de la domination/soumission. Ma réputation était bien établie, j’avais fait mes preuves au fil des soirées haut de gamme dans lesquelles j’avais l’habitude de me rendre, et pour celles que j’organisais parfois dans mon loft de banlieue parisienne.

C’est par du bouche-à-oreille que Christine avait entendu parler de mon nom, et, de ce qu’elle m’a dit, elle a tout de suite été très intriguée par la description que l’on avait fait de moi : j’étais supposément le meilleur donneur d’orgasmes imposés de la région. Elle se demandait alors ce que c’était un « orgasme imposé » et, lors d’une soirée en donjon, elle n’avait pas hésité à me poser la question de but en blanc, sans même me connaître. Cela m’avait un peu perturbé au début, car les soumises sont censées s’adresser avec un énorme respect aux Maîtres, mais je voyais qu’elle était débutante dans le milieu.

C’est pour ça d’ailleurs que je n’avais eu aucune envie d’accepter sa première demande lorsqu’elle m’a imploré d’avoir une séance privée avec moi, mais face à son insistance (bien particulière pour une soumise), je me suis dit que j’arriverais peut-être à en faire quelque chose. Au moins à la mater.

Le soir prévu, elle était chez moi dans la tenue que je lui avais donné en instruction au préalable : ses talons étaient assez hauts pour qu’elle ait du mal à marcher avec, sa taille était soulignée par une jupe trop courte qui l’obligeait à tirer dessus sans arrêt et ses seins débordaient généreusement de son corset trop serré. Je l’ai fait s’allonger sur ma table, la fameuse table des t o r t u r e s qui avait connu beaucoup de soumises. Quand elle a pris place, j’ai senti tout son corps frémir et se préparer à ce qui allait lui arriver. Oui, elle allait souffrir, se plier, repousser ses limites, s’abandonner… Et je sentais qu’elle en était pleinement consciente !

J’ai attendu quelques minutes en silence, la laissant dans cet état d’appréhension totale et je lui ai demandé jusqu’à quel seuil elle était maso… Elle m’a répondu : « Jusqu’à l’inconscience. » J’étais toujours un peu mal à l’aise avec ce genre de personnes, celles qui s’en remettent totalement à vous, surtout quand elles ne vous connaissent pas ! Mais Christine avait cette espèce d’abandon naïf dans lequel vivent la plupart des soumises débutantes, celles qui pensent que le Maître n’est plus un humain mais une sorte de divinité omnisciente. Bref, je l’ai prise au mot et j’ai commencé la séance.

J’ai frappé ses seins avec un petit martinet au début, puis avec mes mains jusqu’à ce qu’ils prennent une belle couleur bleutée. Elle serrait les dents, ne criait pas, n’exprimait rien. Elle soufflait un peu de douleur parfois, mais cela n’allait pas plus loin. Je pouvais donc passer à l’étape supérieure. J’ai posé des pince-tétons sur ses mamelles et je suis venu m’occuper de son entrejambe. J’ai relevé un peu sa jupe, elle était tellement courte que quelques centimètres à peine suffisaient à dévoiler sa chatte bien humide.

Selon mes instructions, elle s’était entièrement rasée avant de venir et ce minou fraîchement lisse m’excitait encore plus. J’ai repris le petit martinet et je lui ai martelé sur le haut des cuisses, à l’intérieur. Là où la peau est assez fine et délicate. J’ai finalement retiré sa jupe qui m’exaspérait et j’ai sorti mon Magic Wand noir. Branché au secteur, ce sextoy surpuissant était une vraie machine à t o r t u r e et à plaisir. Dès qu’elle a entendu la bête vibrer, elle m’a tout de suite regardé, un peu apeurée par la situation. Je lui ai collé la tête qui s’agitait tel un marteau-piqueur sur le clito, son bas-ventre s’est littéralement décollé de la table et elle n’a pas pu retenir un cri de plaisir suraigu.

J’ai appuyé encore plus fort, la voir se tortiller sous ma main experte était un vrai plaisir. Elle râlait, se débattait, hurlait mais rien n’y faisait : je restais imperturbable et accompagnais d’un mouvement de poignet les vibrations du toy. Je lui ai alors murmuré à l’oreille : « À trois, je veux que tu jouisses, tu m’entends ? Si tu n’as pas d’orgasme, j’arrêterai tout et nous ne nous reverrons jamais. » J’ai compté jusqu’à trois. Elle a joui d’un orgasme éblouissant, sa chatte était parcourue de spasmes, j’ai su qu’elle ne trichait pas.

Grâce à cette performance remarquable, Christine est restée ma soumise pendant dix années consécutives.

Patrice

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